Œuvre n°31 : Élégance
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Œuvre n°31 : Élégance
Œuvre n°31 : Élégance
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Œuvre n°31 : Élégance
Œuvre n°31 : Élégance

Œuvre n°31 : Élégance

UGS : n31
76 in stock

210€

Description

Le numéro 31 en référence à l’expression « se mettre sur son 31 » qui nous vient de la déformation de trentain, qui, au Moyen Âge était un tissu luxueux composé de trente fois cent fils, ainsi que des soldats prussiens qui recevaient la visite de leur supérieur le 31 du mois et devaient être apprêtés pour l’occasion.

Élégance : distinction, raffinement, grâce dans les manières. Du latin Elegantia « bon goût », et de De elegans par définition « Qui sait choisir ».

Intéressons-nous à l’œuvre. L’idée est d’informer, en citant Honoré de Balzac, sur la déperdition de « la vie élégante » que ce soit dans la manière de s’habiller, la manière de se s’exprimer ou la manière de se comporter.

Commençons par le vêtement. La manière de s’habiller perd sa valeur élégante au détriment de la vulgarité et des tenues mises en avant par la masse et l’effet de mode.

La manière de s’exprimer est quant à elle durement affectée par, entre autre, un vocabulaire en perdition et par une orthographe laissant très souvent à désirer. Faute imputable au journalisme, à la télévision ainsi qu’aux nouvelles technologies car les mots se perdent par manque de communication et par délaissement de la lecture.

Enfin, le bon comportement envers tout être est délaissé au profit de l’égocentrisme. Le stress tend à renforcer cette idée car on ne prend pas le temps de penser à l’autre. On remarque également un certain recul de l’humanisme et une perte d’humanité par rejet de l’autre.

 

 

Informations produit :

  • Le modèle mesure 174cm et porte du M
  • Coupe décontracté, confortable
  • Composition 100% coton biologique
  • Etiquettes 100% satin recyclé
  • Poids 240g/m2
  • Fabriqué au Portugal
− +

76 en stock

UGS : n31 Catégorie :

Les tee-shirts peuvent contenir une marge d'erreur de longueur liée à la production de 0,5 à 1 cm.

Disposition longueur - largeur - manches

XS         67 cm - 50 cm - 21 cm

S            69 cm - 53 cm - 22 cm

M           71 cm - 56 cm - 23 cm

L            73 cm - 59 cm - 24 cm

XL          75 cm - 63 cm - 25 cm

Compléments d'informations

Cravate, l’histoire de la cravate remonte à la guerre de trente ans (1618-1648) qui opposa l’Empire germanique aux Etats allemands protestants. Louis XIII, roi de France à l’époque, portait un regard particulier sur la mode. Ce fut durant cette guerre qu’il repéra les soldats croates forts élégants, arborant à leur cou un bout de tissu noué. A cet instant, la cravate dans son élégance vit le jour. Le mot cravate est un dérivé du mot croate « hrvat ».

Elle fut reprise par Louis XIV qui l’éleva aux hautes sphères en créant même la fonction de cravatier. Le cravatier a pour devoir de choisir, d’ajuster la cravate du roi et de l’embellir par des accessoires tels que des boutons de manchettes.

La cravate traverse les années et les siècles, connaissant des modifications de matière, de forme, ornant plusieurs cous célèbres dont ceux de Diderot, Napoléon ou encore Edouard VII. Elle trouvera son apparence moderne actuelle dans les mains de Jesse Langsdorf, cravatier New-Yorkais en 1920.

Louis XIV, roi de France 1638-1715

 

Paon spécifaire, vivant principalement en Asie il est aujourd’hui menacé de disparition pour causes, la déforestation de son habitat et la chasse illégale. Autrefois observable à l’état sauvage en Thaïlande, au Bangladesh et dans les pays voisins, on le retrouve aujourd’hui principalement en Birmanie.

Jean Louis Leclerc, comte de Buffon disait au XVIIIe siècle : « Si l’empire appartenait à la beauté et non à la force, le paon serait sans contredit le roi des oiseaux.»

 

« L’homme qui ne voit que la mode dans la mode est un sot. La vie élégante n’exclut ni la pensée, ni la science : elle les consacre »

 Honoré de Balzac, écrivain 1799-1850

 

Smoking, au 17éme siècle les échanges commerciaux entre l’Europe et l’Asie se multiplièrent amenant ainsi leurs lots de découvertes, parmi celles-ci, le banyan. C’est une robe de chambre indienne élégante qui posa les premières pierres de l’édifice que deviendra le smoking.

Courant 19ème siècle, le banyan, souvent conçu avec des matières nobles, était devenu le « smoking », un vêtement pour fumer qui sert de réceptacle à odeur de cigarette et de protection face aux cendres.

Durant cette période, Édouard VII, actuel prince de Galles, demanda à la maison de tailleur Henry Pool & Co de redessiner le smoking afin de l’adapter à la vie courante. Lors d’un voyage en Amérique et d’une rencontre entre Édouard VII, vêtu de sa nouvelle confection, et James Brown Potter, grand homme affaire, le smoking, habit d’apparat tel que nous le connaissons aujourd’hui, naquit sous le nom tuxedo, nom donné par cet homme d’affaire.

Edouard VII, roi d’Angleterre 1841-1910

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